Y
MUse,
conseil ;
lequel il me faut prendre
Pour reposer. Le frais,
l’ombre,
ou le vert
Que ce ruisseau,
ce bois,
ce pré
ouvert
Me veut donner, me fournir, et m’étendre.
Son
cours,
son ombre
et son herbage
tendre
Est-il trop
froid,
trop
noir,
trop
découvert ?
Parle bientôt, car la
fraîcheur
se perd,
Le vert
fanit, l’ombre
ne veut attendre.
Mais quel
besoin
de reposer si près,
Et pour si peu consulter, si le
frais,
Si l’ombre,
ou si la verdure
m’est bonne ?
Vois-tu la
ville
où nous mettrons à fin,
Sans que ruisseau,
ni bois,
ni pré,
nous donne
Lieu de repos,
notre
entrepris
chemin ?
Y
MUse,
conseil ; lequel il me faut prendre
Pour reposer. Le frais, l’ombre,
ou le vert
Que ce ruisseau,
ce bois,
ce pré
ouvert
Me veut donner, me
fournir, et
m’étendre.
Son
cours,
son ombre
et son herbage
tendre
Est-il trop
froid, trop
noir, trop
découvert ?
Parle bientôt,
car la fraîcheur
se perd,
Le vert
fanit, l’ombre
ne veut attendre.
Mais quel
besoin
de reposer si près,
Et pour si peu consulter,
si le frais,
Si l’ombre,
ou si la verdure
m’est bonne ?
Vois-tu la
ville
où nous mettrons à fin,
Sans que ruisseau,
ni bois,
ni pré, nous donne
Lieu de repos, notre
entrepris
chemin ?
En ligne le
25/12/25.
Dernière révision le 25/12/25.