Quand i’apperçoy
quelque traict
approchant
De tes beautez,
dans vne
belle
dame,
Soit de l’esclair
de ta iumelle
flame,
Ou de ton ris
les plus fiers alleschant,
Soit de ce
sein
deux
beaux
thresors
cachant,
Dont le toucher le
feu
mesmes enflame,
Ou soit du
poil,
blond
tyran
de mon ame,
Soit du parler,
ou bien soit de ton
chant,
Soit d’vn
beau
port,
d’vn maniment
folastre,
D’vn
petit
pied
glissant
que i’idolastre,
Ou soit du moins de tes
perfections :
Ie suis contraint, charmé de
douce
rage,
En ton honneur
luy rendre quelque hommage,
Sans toutesfois changer mes
passions.
Quand i’apperçoy
quelque traict
approchant
De tes beautez, dans vne
belle
dame,
Soit de l’eſclair
de ta iumelle
flame,
Ou de ton ris
les plus fiers alleſchant,
Soit de ce
ſein
deux
beaux
threſors
cachant,
Dont le toucher le feu
meſmes enflame,
Ou ſoit du poil,
blond
tyran
de mon ame,
Soit du parler, ou bien ſoit de ton
chant,
Soit d’vn
beau
port, d’vn
maniment
folaſtre,
D’vn
petit
pied
glißant
que i’idolaſtre,
Ou ſoit du moins de tes
perfections :
Ie ſuis contraint,
charmé de
douce
rage,
En ton honneur
luy rendre quelque hommage,
Sans toutesfois changer mes
paßions.
Version de 1870 en ligne le
07/09/21,
remplacée par celle de 1574 le 12/06/25.
Dernière révision le 12/06/25.