««« Démo­phoon »»»

« Démo­phoon » dans :
Jo­delle
1574
~ Démo­phoon, Céphale…

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Démo­phoon. Parjure, thé­séide, roi athé­nien, fausse-foi.

Démo­phoon fils de Thé­sée et de Phèdre, retour­nant du sac de la ville de Troie, les vents qui lui furent contraires le pous­sèrent au pays de Thrace, où il fut reçu de Phyl­lis fille du roi Lycurgue comme s’il eût été son mari : Ayant demeu­ré quelque temps avec elle il reprit le che­min d’Athènes, et lui pro­mit de retour­ner : Ce qu’il ne fit, dont elle gran­de­ment offen­sée, avec un licol mit fin à sa misé­rable vie.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 78r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_162]
(texte modernisé).


 

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Demo­phoon. Par­iure, the­seïde, roi athe­nien, fauce-foi.

Demophoon fils de The­see & de Phedre, retour­nant du sac de la ville de Troie, les vens qui lui furent contraires le pous­serent au païs de Thrace, où il fut receu de Phyl­lis fille du roi Lycurge comme s’il eut esté son mari: Aiant demou­ré quelque temps auec elle il reprint le che­min d’Athenes, & lui pro­mit de retour­ner: Ce qu’il ne fit, dont elle gran­de­ment offen­cee, auecq vn licol mit fin a sa mise­rable vie.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes,1571,
f° 78r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_162]
(texte original).



 

Liens

* On peut lire « Phyllis à Démo­phoon », la deuxième des 21 épîtres fictives compo­sant les Héroïdes d’Ovide, extraites des Œuvres complètes d’Ovide traduites et publiées sous la direc­tion de D. Nisard à partir de 1838, sur remacle.org, site de l’Anti­qui­té grecque et latine.

* On peut lire aussi « Phyllis et Démo­phoon », la traduc­tion par Philippe Renault d’une épi­gramme grecque du poète Cométas (IXe siècle après J.-C.), extraite de l’Antho­lo­gie pala­tine, livre V, dispo­nible dans la Biblio­the­ca classi­ca selec­ta de l’Uni­ver­si­té Catho­lique de Louvain.

Liens valides au 23/05/19.