««« nain ou na­bot »»»

 

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Nain ou Nabot. Honte de na­ture, pe­tit bout d’homme, mons­trueux, pyg­méan, bas­set, vile créa­ture, dif­forme.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 174v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_355]
(texte modernisé).


 

Avertis­se­ment

Cata­logue de lieux com­muns, quand bien même recueil­lis chez les poètes et « plu­sieurs savants per­son­nages », le recueil des Épi­thètes de Maurice de La Porte n’échappe évi­dem­ment pas aux sté­réo­types qu’on dira aujour­d’hui nour­ris des peurs, fan­tasmes, igno­rances et pré­ju­gés propres aux fran­co­phones catho­liques mâles va­lides à la peau blanche de 1571, chez qui l’au­teur a pui­sé et aux­quels ils étaient des­ti­nés. On les publie sans vou­loir rien en omettre, à titre de docu­ments sus­cep­tibles de révé­ler la langue et la pen­sée d’une époque, en son­geant aussi qu’ils peuvent indi­quer pour notre époque les dan­gers du recours irré­flé­chi, auto­ma­tique, aux res­sour­ces de la langue.



 

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Nain, Naintre, Na­bot ou Nim­bot. Honte de na­ture, pe­tit bout d’homme, mons­trueus, pig­mean, bas­set, vile crea­ture, dif­forme.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 174v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_355]
(texte original).