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Népenthe. Gaie, dou­ce­reuse, odo­rante, joyeuse.

Nepenthe est une herbe, laquelle n’a point encore d’autre nom fran­çais, dont la ver­tu est si grande, que le jus d’icelle qui est fort doux, bu dedans du vin, fait ou­blier toute mé­lan­co­lie : Sa racine bue en eau à jeun est sin­gu­lière à ceux qui ne peuvent res­pi­rer sans tenir la tête droite.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 176r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_358]
(texte modernisé).

[Voir aussi plante et mo­ly.]


 

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Nepenthe. Gaie, dou­ce­reuse, odo­rante, ioïeuse.

Nepenthe est vne herbe, laquelle n’a point encores d’autre nom fran­çois, dont la ver­tu est si grande, que le ius d’icelle qui est fort doux, beu dedans du vin, fait ou­blier toute me­lan­cho­lie : Sa racine beuë en eau à ieun est sin­gu­liere à ceux qui ne peuuent res­pi­rer sans tenir la teste droicte.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 176r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_358]
(texte original).

[Voir aussi plante et mo­ly.]