Sonnet en prose.
Pourquoi nenni ?
puisque toujours le visage
Qui nous envisage, ment, s’il ne consent :
Ton Front
autre air
qu’une Déesse
ne sent,
La Vérité
la Déesse
toujours envisage.
La
Grâce
qui dessus ce Jaspe
fait son ménage,
Jamais ne tourne le dos
à qui la va pourchassant :
Si le Jeu
toujours au Ris
condescend,
Le Ris
à l’oui :
nenni n’y a
d’usage.
Ha ! j’entends que
veut dire ce
nenni,
Ce n’est que du but
je sois banni :
Mais c’est qu’un
bon
escrimeur
se retire
Pour s’avancer : car
un tel nenni du
Front
Me reculant, me fera bondir plus prompt
À l’autre
bout,
auquel le
doux
oui aspire.
Sonnet en prose.
Pourquoi nenni ?
puisque toujours le visage
Qui nous envisage, ment, s’il ne consent :
Ton Front
autre air
qu’une Déesse
ne sent,
La Vérité
la Déesse
toujours envisage.
La
Grâce
qui dessus ce Jaspe
fait son ménage,
Jamais ne tourne le dos
à qui la va pourchassant :
Si le Jeu
toujours au Ris
condescend,
Le Ris
à l’oui :
nenni n’y a
d’usage.
Ha ! j’entends que
veut dire ce nenni,
Ce n’est que du but
je sois banni :
Mais c’est qu’un
bon
escrimeur
se retire
Pour s’avancer : car un tel
nenni du
Front
Me reculant, me fera bondir plus prompt
À l’autre
bout,
auquel le
doux
oui aspire.
En ligne le
06/04/13.
Dernière révision le 04/08/22.