Les Épithètes
de Maurice de La Porte (1571)
Le Préam­bule des
innom­brables
««« Ca­laïs »»»

 

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Calaïs. Bo­réal, dis­pos, ai­lé, prompt, lé­ger.

Calaïs (ain­si que disent les poètes) fut l’un des enfants du vent Borée, par le moyen duquel et de son frère Zèthe, Phi­née fut garan­ti des Har­pies, qui jour­nel­le­ment lui ravis­saient sa viande quand il vou­lait prendre sa réfec­tion.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 44v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_95]
(texte modernisé).

[Frère de Calaïs. Zèthe.]

[Voir aussi Arge­nau­chiers ou Ar­go­nautes et Ori­thye.]


 

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Calais. Bo­real, dis­pos, ai­lé, prompt, le­ger.

Calais (ain­si que disent les poëtes) fut l’vn des enfans du vent Boree, par le moien duquel & de son frere Zethe, Phi­nee fut garen­ti des Har­pyes, qui iour­nel­le­ment lui rauis­soient sa viande quand il vou­loit prendre sa refec­tion.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 44v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_95]
(texte original).

[Frere de Calais. Zethe.]

[Voir aussi Arge­nau­chiers ou Ar­go­nautes et Ori­thye.]

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