««« Pé­gase »»»

 

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Pégase. Vo­lant, ailé-cheval, mé­du­séan, lé­ger, dos-ailé, nep­tu­nien, vite, em­pen­né, gor­go­nien, fils ailé de Mé­duse, bel­lé­ro­phon­téan, fuyard, em­plu­mé.

Pégase, ainsi qu’on dit, fut un che­val volant, fils de Nep­tune et de Mé­duse, ou bien il fut engen­dré du sang de Mé­duse seu­le­ment, que Per­sée tua. Ce che­val frap­pant de son pied une pierre au mont Hé­li­con, fit sourdre la fon­taine Pi­rène, Bel­lé­ro­phon pareil­le­ment avec ice­lui décon­fit la mons­trueuse Chi­mère.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 199r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_404]
(texte modernisé).

[Pégaséan. Vol.]

[Pégasides. Muses.]

[Pégasien /-ienne /-s. Chœur, font ou fon­taine, Muses.]

[Pégasin. Chœur.]


 

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Pegase. Vo­lant, ailé-cheual, me­du­sean, le­ger, dos-ailé, nep­tu­nien, viste, em­pen­né, gor­go­nien, fils ailé de Me­duse, bel­le­ro­phon­tean, fuiard, em­plu­mé.

Pegase, ainsi qu’on dict, fut vn che­ual volant, fils de Nep­tune & de Me­duse, ou bien il fut engen­dré du sang de Me­duse seu­le­ment, que Per­see tua. Ce che­ual fra­pant de son pied vne pierre au mont He­li­con, fit sourdre la fon­taine Pi­rene, Bel­le­ro­phon pareil­le­ment auec ice­lui des­con­fit la mons­trueuse Chi­mere.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 199r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_404]
(texte original).

[Pegasean. Vol.]

[Pegasides. Muses.]

[Pegasien /-ienne /-s. Choeur, font ou fon­taine, Muses.]

[Pegasin. Choeur.]