Avoir
d’un bref
repos
une éternelle
peine,
D’un peu de
sûreté
une
mer
de soupçon,
D’un débat
assuré
feinte
dilection,
L’âme
vide de
foi
et d’impiété
pleine.
Sous un
ris
blandissant
masquer l’ardente
haine,
Couver sous la douceur
une présomption,
Déguiser son
tourment
par une fiction,
Et sous un faux
objet une douleur
certaine.
Au
feu
d’un désespoir
rallumer son désir,
Voir en la fraude
close
un ouvert
déplaisir,
Rire
une
heure
le jour
pleurer toute
une
année.
Et
d’un antiqu’penser
faire un conte
nouveau :
C’est pour vous
mon Soleil,
ce que la destinée
Engrave nuit
et jour
dans mon
triste
cerveau.
Avoir d’un
bref
repos
une
éternelle
peine,
D’un peu de
sûreté
une
mer
de soupçon,
D’un
débat
assuré
feinte
dilection,
L’âme
vide de
foi
et d’impiété
pleine.
Sous un
ris
blandissant
masquer l’ardente
haine,
Couver sous la douceur
une présomption,
Déguiser son
tourment
par une fiction,
Et sous un faux
objet une douleur
certaine.
Au
feu
d’un
désespoir
rallumer son désir,
Voir en la fraude
close
un ouvert
déplaisir,
Rire
une
heure
le jour
pleurer toute
une
année.
Et
d’un
antiqu’penser
faire un conte
nouveau :
C’est pour vous
mon Soleil,
ce que la destinée
Engrave nuit
et jour
dans mon
triste
cerveau.
En ligne le 13/09/25.
Dernière révision le 16/09/25.