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            Dans la
liste ci-contre,
la première date
est celle de
l'édition du texte disponible sur Gallica. Quand elle est suivie
d'une autre date, en gras et entre parenthèses, celle-ci
renvoie
à
l'édition originale qui n'est pas encore disponible sur
Gallica. 
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            Canzoniere, 35
: Solo
et pensoso i
più deserti campi... 
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            1555 (1548) -
Vasquin PHILIEUL,
            traduction, Seul
et pensif ces champs et vert côteau / Vais mesurant pas
à pas lentement..., livre I, sonnet 26, p. 27 [Gallica,
N0071628_ PDF_28]. 
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            1550 - Joachim DU BELLAY, imitation, Seul,
et pensif par la déserte plaine / Rêvant au bien, qui
me fait douloureux..., L'Olive augmentée,
sonnet 84, n.p. [Gallica, N0070784_ PDF_60]. 
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            1555 - Jean Antoine de BAÏF, imitation, Solitaire
et pensif par les lieux plus sauvages, / Où des hommes le
train moins se montre à mes yeux..., Quatre livres de l'Amour de
Francine, livre II, f°63 r° [Gallica,
N0070090_PDF_126]. 
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            1573 - Philippe DESPORTES, imitation, Solitaire
et pensif dans un bois écarté, / Bien loin du
populaire et de la tourbe épaisse..., Les premières Œuvres,
            Premier livre des Amours, sonnet 37, f°10
r° [Gallica, N0070133_PDF_27]. 
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            1595 (1575) -
Étienne DU TRONCHET, traduction, Tout
seul et en rêvant au
chant [sic] plus solitaire / Je mesure mes pas
posés appesantifs..., sonnet 27, p. 250 [Gallica, N0079141_
PDF_255]. 
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            1583 - Joachim BLANCHON,
            imitation, Loin
des beaux yeux de ma douce contraire, / Je ne fais rien
qu'à part me lamenter..., Les premières Œuvres
poétiques, Les Amours de Dione, sonnet
99, p. 50 [Gallica, N0071978_ PDF_66]. 
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            1583 - Pierre de CORNU,
            imitation, Solitaire,
et
pensif, et veuf de toute joie,
/ Ainsi que je pensais au sort de
mes amours..., Les
Œuvres poétiques, premier livre des Amours,
sonnet
53, p. 32 [Gallica, N0079115_PDF_49]. 
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            1606 (1600) -
Philippe de MALDEGHEM, traduction, Je
vais
seul et pensif les champs plus égarés / Et
déserts mesurant d'une marche tardive..., Vie de Laure,
sonnet 28, pp. 66-67 [Gallica, N0057830_PDF_93_94]. 
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