««« cep »»»

« cep » ou « ceps » dans :
Le Caron
1554
~ Cette pri­son…
Le Poulchre
1587
~ Je n’ai jamais la paix…

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Cep. Pesant, en­ser­ré, gê­neux ou gê­nant.

C’est un ins­tru­ment où l’on serre les pieds des mal­fai­teurs.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 50r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_106_107]
(texte modernisé).

[Voir aussi fers, gêne ou géhenne, gi­bet, supplice, tour­ment.]


 

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Cep. Pesant, en­ser­ré, ges­neus ou ges­nant.

C’est vn ins­tru­ment où l’on serre les pieds des mal­fai­teurs.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 50r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_106_107]
(texte original).

[Voir aussi fers, geine ou gehenne, gib­bet, supplice, tour­ment.]