««« gê­ne ou gé­henne »»»

« gêne » ou « gênes » dans :
Chante­louve
1576
~ Avoir grand cœur…
La Jessée
1583
~ Qu’on nombre l’Ost…
~ Quel aise en mon ennui…
Cornu
1583
~ Mon cœur, mon doux sou­ci…
Chassi­gnet
1594
~ L’enfance n’est sinon…
~ Las ! pourquoi nous fais-tu…
Certon
1620
~ Satan, la mort, l’enfer…

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Gêne ou Géhenne. Mor­dante, dure, for­cée ou for­çante, vé­ri­table, en­qué­rante, tour­men­teuse, pu­nis­sable, vio­lente, ques­tion­naire.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 112r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_230]
(texte modernisé).

[Gênant /-ante /-s. Armes et ar­mures, cep, fers, tour­ment.]

[Gêné. Raisin.]

[Gêneux. Cep.]


 

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Geine ou Gehenne. Mor­dante, dure, for­ce [sic] ou for­çante, ve­ri­table, en­que­rante, tour­men­teuse, pu­nis­sable, vio­lente, ques­tion­naire.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 112r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_230]
(texte original).

[Gesnant /-ante /-ans. Armes & ar­meures, cep, fers, tour­ment.]

[Geinné. Raisin.]

[Gesneux. Cep.]