C’est auiourd’hui
uertu
que sçauoir courtiser,
C’est uice
que hayr la malice
de l’homme,
C’est uertu
que cherir cil qui son bien consomme,
C’est uice,
d’espinay,
que le mal
despriser.
C’est
uertu
que sçauoir tres bien deualiser,
C’est uice
de parler des Courtisans
de Rome,
C’est uertu
de priser celuy qui mieux assomme,
C’est uice
que la foy
& le Ciel
aduiser.
C’est
uertu
d’amasser contre toute
iustice,
Mais de faire raison,
mon d’Espinay, c’est
uice,
C’est uice
que n’auoir l’autruy auec le sien.
C’est
uertu
que le bien des pauures empescher,
C’est uice
que de uoir un homme
s’en fascher,
Et le uice
plus grand, c’est d’estre
homme
de bien.
C’est
auiourd’hui uertu
que sçauoir courtiser,
C’est
uice
que hayr la malice
de l’homme,
C’est
uertu
que cherir cil qui son bien consomme,
C’est
uice,
d’espinay,
que le mal
despriser.
C’est
uertu
que sçauoir tres bien deualiser,
C’est
uice
de parler des Courtisans
de Rome,
C’est
uertu
de priser celuy qui mieux assomme,
C’est
uice
que la foy
& le Ciel aduiser.
C’est
uertu
d’amasser contre toute
iustice,
Mais de faire
raison,
mon d’Espinay,
c’est uice,
C’est
uice
que n’auoir l’autruy auec le sien.
C’est
uertu
que le bien des pauures empescher,
C’est
uice
que de uoir un homme
s’en fascher,
Et le
uice
plus grand, c’est d’estre
homme
de bien.
En ligne le
08/12/06.
Dernière révision le 16/04/20.