Je ne vois rien sinon une
avarice
Au temps
qui court à bien inusité,
Je ne vois rien que toute
volupté,
Que trahison,
envie
et injustice.
Je ne vois rien de
l’antique
justice,
Je ne vois rien de
ferme
loyauté,
Je ne vois rien qu’une
feinte
bonté,
Je ne vois rien, sinon toute
malice.
Et qui voudrait les
vices
raconter
Du temps
présent, celui voudrait compter,
Celui, Raufray, voudrait compter encore
Du
renouveau
la florie
beauté,
Les
blonds
épis
qui ondoyent
l’été,
Et les flambeaux
dont la nuit
se colore.
Je ne vois rien sinon une
avarice
Au temps
qui court à bien inusité,
Je ne vois rien que toute
volupté,
Que trahison,
envie
et injustice.
Je ne vois rien de
l’antique
justice,
Je ne vois rien de
ferme
loyauté,
Je ne vois rien qu’une
feinte
bonté,
Je ne vois rien, sinon
toute malice.
Et qui voudrait les
vices
raconter
Du temps
présent, celui
voudrait compter,
Celui,
Raufray, voudrait compter
encore
Du
renouveau
la florie
beauté,
Les
blonds
épis
qui ondoyent l’été,
Et les flambeaux
dont la nuit
se colore.
En ligne le
20/12/25.
Dernière révision le 20/12/25.