QUi
peut en son esprit
comprendre entièrement,
Cette variété
de tant, et tant de choses,
Au sein
de la nature
étroitement encloses,
Et connaître leur
force
et vertu
pleinement :
Qui peut nombrer les
feux
de tout le firmament,
Et les champêtres
fleurs
sur un Printemps
décloses,
Qui des lis,
des œillets,
des romarins,
des roses
Peut le nombre nombrer dès le
commencement :
Qui peut nombrer encor dans la
mer
orgueilleuse
Des peuples
écaillés
cette troupe
nombreuse,
Et sonder de son doigt
les abîmes
profonds,
Un tel peut le
secret
de ce secret
comprendre,
Qui joint la Déité
à notre
chair
de cendre,
Et à
l’homme
fini
l’Éternité
sans fond.
QUi
peut en son esprit
comprendre entièrement,
Cette variété
de tant, et tant de choses,
Au sein
de la nature
étroitement encloses,
Et connaître leur
force
et vertu
pleinement :
Qui peut nombrer les
feux
de tout le firmament,
Et les champêtres
fleurs
sur un Printemps
décloses,
Qui des lis,
des œillets,
des romarins,
des roses
Peut le nombre nombrer dès le
commencement :
Qui peut nombrer encor dans la
mer
orgueilleuse
Des peuples
écaillés
cette troupe
nombreuse,
Et sonder de son doigt
les abîmes
profonds,
Un tel peut le
secret
de ce secret
comprendre,
Qui joint la Déité
à notre
chair
de cendre,
Et à
l’homme
fini
l’Éternité
sans fond.
En ligne le
09/10/05
versé dans l’anthologie des innombrables le
20/12/25.
Dernière révision le 20/12/25.