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« pie » dans :
d’Espi­nay
1560
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Pie. Ja­sarde, dé­piteuse, aga­çante, dif­forme, in­ju­rieuse, ba­bil­larde ou ba­varde.

La Pie fait ordi­nai­re­ment neuf petits Piats qui sont cou­vés, tant par le mâle que par la fe­melle alter­na­ti­ve­ment. Car pen­dant que l’un d’eux est au pour­chas, l’autre se tient sur les œufs.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 205v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_417]
(texte modernisé).

[Voir aussi oiseau et aigle, alouette, aronde ou aron­delle, au­tour, au­truche, bu­sard, caille, cane ou ca­nard, char­don­ne­ret, chat-huant, ci­gogne, co­lomb, co­lombe ou co­lom­belle, coq, coq d’Inde, cor­beau, cor­neille, cou­cou ou cocu, cygne, duc, éper­vier, fau­con, grue, hé­ron, hi­bou, li­not ou li­notte, mar­ti­net, mi­lan, oie, oi­son, pa­lombe, paon, pas­se­reau, pas­se­relle ou passe, pé­li­can, per­drix, per­ro­quet, pi­geon, plon­geon, poule, pous­sin, ra­mier, ros­si­gnol, sacre, ta­rin, tourte ou tour­te­relle, vau­tour ; voir en­core phé­nix.]


 

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Pie. Ia­sarde, des­piteuse, aga­çante, dif­forme, in­iu­rieuse, ba­bil­larde ou ba­uarde.

La Pie fait ordi­nai­re­ment neuf petis Piats qui sont cou­uez, tant par le masle que par la fe­melle alter­na­ti­ue­ment. Car pen­dant que l’vn d’eux est au pour­chas, l’autre se tient sur les œufs.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 205v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_417]
(texte original).

[Voir aussi oiseau et aigle, alouette, aronde ou aron­delle, au­tour, aus­truche, bu­sard, caille, cane ou ca­nart, char­don­ne­ret, chat-huan, ci­gogne, co­lomb, co­lumbe ou co­lum­belle, coq, coq d’Inde, cor­beau, cor­neille, cou­cou ou cocu, cygne, duc, esper­uier, fau­con, grue, he­ron, hi­bou, li­not ou li­notte, mar­ti­net, mi­lan, oie, oi­son, pa­lombe, paon, pas­se­reau, pas­se­relle ou passe, pe­li­can, per­dris, per­ro­quet, pi­geon, plon­geon, poule, pous­sin, ra­mier, ros­si­gnol, sacre, ta­rin, tourte ou tour­te­relle, vaul­tour ; voir en­core phœ­nix.]



 

Liens

* On peut regar­der en ligne sur Gallica un « portrait » de la « Pie », et lire « De la Pie », cha­pitre VIII du « sixième livre de la Na­ture des oiseaux, qu’on touve vian­der indif­fé­rem­ment en tous lieux », pp. 291-292 de L’His­toire de la na­ture des Oiseaux, avec leurs des­crip­tions, et naïfs por­traits re­ti­rés du na­tu­rel, de Pierre Belon, du Mans, pu­bliée à Paris en 1555.

Le même portrait de la « Pie », sans les cou­leurs, se voit au f° 71r° des Por­traits d’Oi­seaux enri­chis de Qua­trains, du même Pierre Belon, pu­bliés à Paris en 1557.

* On peut aussi sur Gallica regar­der et lire le bla­son de la Pie, p. 36 du Bla­son des Oi­seaux de Guil­laume Gue­roult, pu­blié à Lyon en 1550.

Liens valides au 06/08/22.