««« Ho­mère »»»

« Homero », « Homère » ou « le nourris­son de Smyrne » dans :
Vincen­zo Martel­li
1549
~ Se Lisip­po, et Apelle…
Du Bellay
1549
~ Fasse le Ciel…
Cathe­rine Des Roches
1583
~ La Beauté, la doc­trine…
Las­phrise
1597
~ Estrées ne requiert…
Bernier de La Brousse
1618
~ Le Nectar rouge…
~ Rien sinon que des vœux…

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◊ « le nourris­son de Smyrne » (Cath. Des Roches)
 

Homère. Dieu de poé­sie, smyr­néan, trom­pette d’Achille, di­vin, fa­meux, poète grec, ivrogne, aveugle, fa­bu­leux, sa­la­mi­nien, docte, grave, im­mor­tel, co­lo­pho­nien, prince des poètes, au­teur de l’Iliade, haut-bruyant, ini­mi­table, grand.

Homère pre­miè­re­ment appe­lé Mé­lé­si­gène a été le plus excel­lent de tous les poètes grecs, et a eu ce nom, pource qu’il était aveugle. On parle di­ver­se­ment du lieu de sa nais­sance, et n’y en a rien de cer­tain par écrit : Mais quant à son sé­pulcre, Pline dit qu’il est en l’Île d’Ios, la­quelle pour ce seul res­pect est gran­de­ment cé­lé­brée.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 127v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_261]
(texte modernisé).

[Homère latin. Virgile.]

[Homérique /-s. Iliade, poé­sie, Ulysse, vers.]

[Querci­nois Homère. Salel.]

[Truche­ment d’Homère. Dorat.]

[Voir aussi Dione, moly, pourpre, Xanthe [che­val], Zoïle ; voir en­core Al­cée, Ana­créon, Co­rinne, Eu­ri­pide, Hé­siode, Ly­co­phron, Pin­dare, Sap­pho, Théo­crite et Ché­rile, ain­si que Ca­tulle, Ho­race, Ju­vé­nal, Lu­cain, Lu­crèce, Mar­tial, Ovide, Plaute, Ti­bulle ; voir en­fin Pé­trarque et Baïf, Bel­leau, But­tet, Des Au­tels, Du Bel­lay, Jo­delle, La Pé­ruse, Ma­gny, Mu­ret, Pe­le­tier, Ron­sard, Sainte-Marthe, Scève, Ta­hu­reau, Tyard.]


 

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Homere. Dieu de poe­sie, smyr­nean, trom­pette d’Achille, di­uin, fa­meus, poete grec, iürongne, aueugle, fa­bu­leus, sa­la­mi­nien, docte, graue, im­mor­tel, co­lo­pho­nien, prince des poetes, au­theur de l’Iliade, haut-bruiant, ini­mi­table, grand.

Homere premie­re­ment appel­lé Me­le­si­gene a esté le plus ex­cel­lent de tous les poetes grecs, & a eu ce nom, pource qu’il estoit aueugle. On parle di­uer­se­ment du lieu de sa nais­sance, & n’i en a rien de cer­tain par escrit : Mais quant à son se­pulchre, Pline dit qu’il est en l’Isle d’Ios, la­quelle pour ce seul res­pect est gran­de­ment ce­le­bree.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 127v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_261]
(texte original).

[Homere latin. Virgile.]

[Homerique /-s. Iliade, poe­sie, vers, Vlysse.]

[Quercinois Homere. Salel.]

[Truche­ment d’Homere. Aurat.]

[Voir aussi Dione, moly, pourpre, Xanthe [che­val], Zoïle ; voir en­core Al­cee, Ana­creon, Co­rinne, Eu­ri­pide, He­siode, Ly­co­phron, Pin­dare, Sap­phon, Theo­crite et Che­rile, ain­si que Ca­tule, Ho­race, Iu­ue­nal, Lu­cain, Lu­crece, Mar­tial, Ouide, Plaute, Ty­bulle ; voir en­fin Pe­trarque et Baif, Bel­lay, Bel­leau, But­tet, Des Au­tels, Io­delle, Ma­gni, Mu­ret, Pel­le­tier, Pe­ruse, Pon­tus de Thiard, Ron­sard, Saincte Marthe, Sceue, Ta­hu­reau.]