Marc Papillon de LASPHRISE (1555-1599)
Plutôt on comptera…
Le Préam­bule des
innom­brables
Les premières Œuvres poétiques,
Paris, Jean Gesselin, 1597.
ouvrir sur Gallica : Stances de la Délice d’Amour, strophe 65, p. 284.

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Plutôt on comptera les bêtes, les oiseaux,
Tout le peuple muet qui est dedans les eaux,
Les sables d’alentour, que l’on sache le compte
Des caresses, des biens, que ce petit mignon
(Duquel l’honnêteté me défend le vrai nom)
Fait couver, fait éclore avec sa douce honte.
 

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On peut cliquer sur certains mots pour voir les épithètes de Maurice de La Porte
 
 

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Plutôt on comptera les bêtes, les oiseaux,
Tout le peuple muet qui est dedans les eaux,
Les sables d’alentour, que l’on sache le compte
Des caresses, des biens, que ce petit mignon
(Duquel l’honnêteté me défend le vrai nom)
Fait couver, fait éclore avec sa douce honte.
 

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En ligne le 16/04/07.
Dernière révision le 10/10/23.