««« ca­ve »»»

« cave » dans :
Boys­sières
1578
~ Le nerf, le corps, la chair…
Robert Gar­nier
1579
~ Que bien vrai le chantre sacré…

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Cave. Pro­fonde, fraîche, obs­cure, vi­neuse, sou­ter­raine, voû­tée, creuse, en­fon­cée, sombre, ca­ver­neuse. Le dimi­nu­tif Ca­veau.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 49v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_105]
(texte modernisé).

[Cavé /-ée /-s. Antre, ca­nal, fente, fosse, pieds, tempes, yeux.]

[Caveuse. Voûte ou voû­ture.]

[Enrocheur, c.-à-d. en­ca­veur. Ton­ne­lier.]


 

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Caue. Pro­fonde, fraiche, obs­cure, vi­neuse, soub­ter­raine, vou­tee, creuse, en­fon­cee, sombre, ca­uer­neuse. Le dim. Ca­ueau.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 49v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_105]
(texte original).

[Caué /-ee /-ez. Antre, ca­nal, fente, fosse, ieux [yeux], pieds, tempes.]

[Caueuse. Voulte ou voul­ture.]

[Enrocheur, I. en­ca­ueur. Ton­ne­lier.]