Fleurs,
campagnes
et prés
que vous êtes heureux
De jouir des regards
de ma
douce
inhumaine,
Et de garder ses pas
comme elle se promène,
Et d’ouïr de sa
voix
les accents
doucereux !
Arbres
et vous Lauriers
de son nid
valeureux,
Que vous portez la tête
en orgueil
plus
hautaine
Depuis qu’un tel Soleil
de ses rais
vous assène,
Coteaux
combien par lui vous êtes plantureux !
Doux
pays,
clairs
ruisseaux,
où sa beauté
se mire,
Qui prenez qualité
de son teint
que j’admire :
Y a-t-il entre vous un rocher
si pourvu
D’insensible
durté,
qui la voyant si belle
En ses veines
ne sente une ardeur
immortelle ?
Hé, qui pourrait brûler aux
rais
d’un plus
beau
feu ?
Fleurs,
campagnes
et prés
que vous êtes heureux
De jouir des regards
de ma
douce
inhumaine,
Et de garder ses pas
comme elle se promène,
Et d’ouïr
de sa voix
les accents
doucereux !
Arbres
et vous Lauriers
de son nid
valeureux,
Que vous portez la tête
en orgueil
plus
hautaine
Depuis qu’un tel
Soleil
de ses rais
vous assène,
Coteaux
combien par lui vous êtes plantureux !
Doux
pays,
clairs
ruisseaux,
où sa beauté
se mire,
Qui prenez qualité
de son teint
que j’admire :
Y a-t-il entre vous un rocher
si pourvu
D’insensible
durté,
qui la voyant si belle
En ses veines
ne sente une ardeur
immortelle ?
Hé, qui pourrait
brûler aux rais
d’un plus
beau
feu ?
En ligne le
02/07/25.
Dernière révision le 02/07/25.