[…]
Deuant que
l’atrait
beliqueur
De vôtre beauté,
qui m’enferre,
Quite mes veines
& mon cœur,
Les astres
flamberont sur terre
Et le Ciel
aura mainte fleur.
En
mer
les oizeaus
nageront,
Les poissons
trancheront le vuide,
Les Elemans se changeront,
Tout ira sans ordre
& sans guide,
Et toutes chozes periront.
[…]
Deuant que
l’atrait
beliqueur
De vôtre beauté,
qui m’enferre,
Quite mes veines
& mon cœur,
Les aſtres
flamberont ſur terre
Et le Ciel
aura mainte fleur.
En
mer
les oizeaus
nageront,
Les poiſſons
trancheront le vuide,
Les Elemans ſe changeront,
Tout ira ſans ordre
& ſans guide,
Et toutes chozes periront.
En ligne le
06/02/08.
Dernière révision le 26/06/25.