Claude GARNIER (?-v. 1630)
Devant que l’attrait belliqueur…
Paris, Gilles Robinot, 1609.

[…] 

Devant que l’attrait belliqueur
De votre beauté, qui m’enferre,
Quitte mes veines et mon cœur,
Les astres flamberont sur terre
Et le Ciel aura mainte fleur.

En mer les oiseaux nageront,
Les poissons trancheront le vide,
Les Éléments se changeront,
Tout ira sans ordre et sans guide,
Et toutes choses périront.
 
 
 

On peut cliquer sur certains mots pour voir les épithètes de Maurice de La Porte
 
 

[…] 

Devant que l’attrait belliqueur
De votre beauté, qui m’enferre,
Quitte mes veines et mon cœur,
Les astres flamberont sur terre
Et le Ciel aura mainte fleur.

En mer les oiseaux nageront,
Les poissons trancheront le vide,
Les Éléments se changeront,
Tout ira sans ordre et sans guide,
Et toutes choses périront.
 
 
 

 

En ligne le 06/02/08.
Dernière révision le 14/05/23.