««« mer »»»

« mer », « mers » ou « marine » dans :
Marot
1533
~ [Tu crains (pour vrai)
Salel
1540
~ [Quant est à moi…
François Habert
1541
~ [Recevez donc…
1549
~ [Ce que j’en dis…
~ [Plutôt pois­sons…
1559
~ [Car plutôt on ver­ra…
Scève
1544
~ Toujours n’est pas…
Pele­tier
1547
~ Or que le Ciel…
1555
~ Celui qui fait aux champs…
Forca­del
1548
~ [Je n’esti­mai…
~ Feu, Femme, Mer…
~ Un clair soleil…
Phi­lieul
1548 [1555]
~ Ni Pô, Tésin, ni Tibre… (Canz., 148)
~ De jour en jour… (Canz., 195)
~ Ores se tait le ciel… (Canz., 164)
~ La mer n’a point… [strophes 1 & 3] (Canz., 237)
~ Comble d’oubli… (Canz., 189)
1555
~ Au ciel n’y a étoiles… (Canz., 312)
Du Bellay
1549
~ Qui a nombré…
1550
~ Me soit amour…
~ Quand la fureur…
1553
~ [Plutôt les Cerfs…
1558
~ Comme le mari­nier…
~ Nouveau venu…
Tyard
1549
~ Quand le désir…
Des Autels
1550
~ Le beau Phébus…
Ron­sard
1552
~ Plutôt le bal…
~ Ni voir flam­ber…
~ Toujours des bois…
~ Ô traits fichés…
~ Que Gâtine ait…
~ [Un grand rocher…
1553
~ Toujours ne tem­pête…
1555
~ Autant qu’un rivage a…
1556
~ Le printemps n’a point tant de fleurs…
1578
~ [Je veux en lieu des cieux…
Muret
1552
~ [Qui en la gaye saison…
Magny
1553
~ Entre les flots…
~ Plutôt la mer…
1554 [1871]
~ Autant, mon Ron­sard, que de roses…
1557
~ Toujours la peste aux Grecs…
~ Après avoir, PAS­CHAL…
1559
~ [De nuit au ciel…
Tahu­reau
1554 [1870]
~ Plutôt le chariot…
~ En quel fleuve aré­neux…
Fon­taine
1555
~ Mon petit fils… [strophes 3 & 4]
Baïf
1555
~ Ni la mer tant de flots…
~ À rames vogue­ra…
~ Plus mon désir s’accroît…
~ [Tout tel que j’ai été…
1573
~ [On ne compte de nuit…
~ Ore de mal en bien…
La Péruse
1555
~ [Toujours le vent tem­pê­tant…
~ [Cesser, chère Nour­rice ?…
Vauque­lin
1555 [1872]
~ Je chasse en mer…
Bu­gnyon
1557
~ Malgré le sort…
Bel­leau
1556
~ Si tu comptes des bois verts…
1572
~ [Ainsi que les lau­riers sans feuilles…
La Gra­vière
1558
~ Trouver le feu…
Babi­not
1559
~ Comme une plaie…
d’Espi­nay
1560
~ Lorsque tous cois…
Filleul
1560
~ Plutôt le cerf en l’air…
Grévin
1561
~ Mon navire s’en va…
Buttet
1561
~ Un lourd esprit…
~ Tu pourras bien…
~ Quand le clair ciel…
Robert Gar­nier
1568
~ [Plutôt, du jour flam­bant…
1573
~ [Si Vénus une fois…
~ [Pourquoi pour le péché…
1574
~ [Le temps modère tout…
Gadou
1573
~ Si vous voulez savoir…
Des­portes
1573
~ [Quand je vois les tor­rents…
~ Je l’aime bien…
~ Mettez-moi sur la mer…
~ Quel feu par les vents ani­mé…
1594
~ Je porte plus au cœur…
Jo­delle
1574
~ Comme un qui s’est per­du…
Gou­lart
1574
~ Non, non, Zéphyre…
~ Celui qui a…
Le Loyer
1576
~ [Hé, Cruelle, ne veux-tu pas…
~ J’étais tout près…
~ Ma nef s’en va flot­tant…
Le Saulx
1577
~ Plus qu’on ne voit au ciel… (Th., 76)
~ Plutôt de l’Uni­vers… (Th., 123)
~ Plutôt le ciel voû­té… (Th., 124)
~ Si quelqu’un peut nom­brer… (Th., 147)
Hes­teau
1578
~ Rien ne dure tou­jours…
~ Œil bel œil, orne­ment…
~ Avoir d’un bref repos…
~ [Aime-moi mon Thyr­sis…
~ L’impu­dent Ixion…
~ [Aussitôt on ver­ra…
Pon­toux
1579
~ Plutôt ardra…
Boys­sières
1579
~ Au Ciel, en l’air, en l’eau…
Cour­tin
1581
~ Je ris, je pleure…
~ Que me servent ces cris…
La Bode­rie
1582
~ [Mais qui dira…
La Jessée
1583
~ Que toutes nos forêts…
~ Qui nombre­ra…
~ Je n’égale mes soins…
~ Qui comme une Ariane…
~ Les Cerfs légers…
~ Ô guerre, ô paix…
Blan­chon
1583
~ Celui qui nom­bre­rait…
~ Le Roi du jour…
~ Le Printemps gra­cieux… [strophes 1 et 8]
~ La rigueur du Tyran…
Cornu
1583
~ Le tonnerre pres­sé…
~ Plutôt du ciel astré…
~ [Plutôt au ciel astré…
Rous­peau
1584
~ [Être deux en un corps…
Joseph Du Chesne
1584
~ [Fais plutôt par la bon­té tienne…
Du Verdier
1585
~ Quand le brillant So­leil…
Du Buys
1585
~ [De notre Odet…
Isaac Habert
1585
~ [Autant qu’on voit la nuit…
~ [Tu as lais­sé ton Dieu…
~ Tout ce qui est com­pris…
~ Quand je te veux louer…
Tami­sier
1587
~ Tout cela que le Ciel…
d’Avost
1587
~ [La mer n’est pas tou­jours…
Bris­set
1589
~ [Quel nouveau chan­ge­ment !…
~ [Plutôt, plutôt la mer…
Pontay­me­ri
1594
~ [Plutôt je nom­bre­rais…
Chassi­gnet
1594
~ L’enfance n’est sinon…
Louven­court
1595
~ Qui peut comp­ter…
~ Baisers doux, et mignards…
Las­phrise
1597
~ J’ai vu les belles fleurs…
~ La plus douce dou­ceur…
~ Je pense­rais plu­tôt…
~ [La beau­té se fait voir…
~ [Qui veut nom­brer…
Guy de Tours
1598
~ Je vou­drais être…
Ber­thrand
1599
~ [Les Cerfs se nour­ri­ront…
Grisel
1599
~ Le rocher endur­ci…
~ Si vous comp­tez les flots…
~ Plutôt le ciel voû­té…
Sca­lion de Vir­blu­neau
1599
~ Ainsi que Phé­bus sans clar­té…
Ga­mon
1600
~ La commune nour­rice…
Mage de Fief­me­lin
1601
~ Ma Muse en son su­jet…
Anne de Mar­quets
1605
~ La terre ne pro­duit…
Malde­ghem
1606
~ Tant d’ani­maux… (Canz., 237)
Claude Gar­nier
1609
~ Toujours la nuit…
~ [Devant que l’attrait bel­li­queur…
~ Mes ans plus beaux…
Certon
1620
~ L’épouvantable plant…
~ Qui vante qui vou­dra…
~ Ni le fâ­cheux…
Mar­beuf
1628
~ [Je ne m’étonne plus…
~ Et la mer et l’amour…

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◊ les « marines cam­pagnes » (Baïf), les « cam­pagnes salées » (Des­portes), « les cam­pagnes liquides » (Rob. Garnier), « la cam­pagne où tou­jours un bruit humide dure » (Gamon)
◊ « la grand’ plaine salée » (Buttet), « l’humide plaine » (Blanchon), « l’écu­meuse plaine » (Angot), « la plaine azu­rée », « la plaine à l’hé­ri­tier de Rhée » (Certon)
◊ « de Vénus la nais­sance » (Jamyn)
◊ « la marine » (Cornu)
◊ « la demeure de Nep­tune » (Chassi­gnet), « le nep­tu­nien clos » (Grisel)
 

Mer. Salée, inhu­maine, écu­meuse, on­doyante, pro­fonde, fluc­tueuse, plaine, azu­rée, gem­meuse, fière, bouil­lon­nante, ven­teuse, hu­mide, âpre, ri­gou­reuse, monde, spa­cieuse, vague ou va­ga­bonde, na­vi­gable, creuse, large, sourde, im­pla­cable, bruyante, im­pé­tueuse, champ de Nep­tune, gron­dante, déses­pé­rée, in­dique ou in­dienne, bor­née, in­cons­tante, épou­van­table, Égée, vio­lente, tem­pé­tueuse, ho­mi­cide, ica­rée ou ica­rienne, ter­rible, cour­rou­cée, grande, ha­sar­deuse, océ­a­nique, bar­bare, cruelle, amère, pé­ril­leuse, épan­due, nep­tu­nienne, sa­blon­neuse, en­flée, li­quide, im­por­tune, dé­pite, im­pa­tiente, haute, inexo­rable, monstre fier, ra­vis­sante, vaste, im­mense, avare, dou­teuse, in­fi­dèle, grom­me­lante, trom­pe­resse, in­cer­taine, aré­neuse, flo­flo­tante, dan­ge­reuse, tur­bu­lente, pier­reuse, émue, tour­noyante, aveugle, hor­rible, com­mune, éparse, mé­di­ter­ra­née, por­tueuse ou im­por­tueuse, pour­prine, agi­tée, tu­mul­tueuse, bo­nace, calme, re­gor­geante, ireuse, froide, pai­sible, mons­trueuse, cou­rante, em­per­lée, sou­cieuse, tran­quille.

La Mer a eu ce nom (ainsi qu’on dit) à cause de son eau qui est amère.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
ff. 163v°-164r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_333_334]
(texte modernisé).

[Cheval de mer. Nau, nave, navire ou nef.]

[Citoyen marin. Poisson.]

[Dieu de la mer. Océan.]

[Dieu marin. Neptune, Nérée, Phorce ou Phorque, Pro­tée.]

[Fille de la mer. Vénus.]

[Fils de la mer. Amour.]

[Gouverneur de la mer, roi de la mer, roi des orages marins. Nep­tune.]

[Irrite-mer. Aqui­lon, vague, vent.]

[Maître de la mer. Borée, vent.]

[Manne de la mer. Hareng.]

[Marin /-ine /-s. Absinthe, air, alose, amer­tume, ba­leine, bord de l’eau, bouil­lons, Cha­rybde, choc, conque, cours d’eau, eau, écueil, écume, flots, golfe ou gouffre, havre, huîtres, Icare, la­mie, na­vi­gage ou na­vi­ga­tion, Nymphes, onde, pé­ril, rade, ri­vage ou rive, sable, sel, tem­pête, tour­mente, tri­dent, tur­bot, vague, vent.]

[Maritime /-s. Achaïe, havre, île, pin, plon­geon, port, Rhodes, Si­rènes.]

[Naïade de la mer. Ga­la­tée.]

[Reine de la mer. Venise.]

[Voir aussi amphi­trite, Né­ré­ides ; voir en­core Té­thys et Thé­tis.]


 

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Mer. Salee, inhu­maine, escu­meuse, on­doiante, pro­fonde, fluc­tueuse, plaine, azu­ree, gem­meuse, fiere, boüil­lon­nante, ven­teuse, hu­mide, aspre, ri­gou­reuse, munde, spa­tieuse, vague ou va­ga­bonde, na­ui­gable, creuse, large, sourde, im­pla­cable, bruiante, im­pe­tueuse, champ de Nep­tune, gron­dante, de­ses­pe­ree, in­dique ou in­dienne, bor­nee, in­cons­tante, espou­uan­table, ægee, vio­lente, tem­pes­tueuse, ho­mi­cide, ica­ree ou ica­rienne, ter­rible, cour­rou­cee, grande, ha­zar­deuse, oce­a­nique, bar­bare, cruelle, amere, pe­ril­leuse, espan­due, nep­tu­nienne, sa­blon­neuse, en­flee, li­quide, im­por­tune, des­pite, im­pa­tiente, haute, inexo­rable, monstre fier, ra­uis­sante, vaste, im­mense, auare, dou­teuse, in­fi­dele, grom­me­lante, trom­pe­resse, in­cer­taine, are­neuse, flo-flo­tante, dan­ge­reuse, tur­bu­lente, pier­reuse, esmeue, tour­noiante, aueugle, hor­rible, com­mune, esparse, me­di­ter­ra­nee, por­tueuse ou im­por­tueuse, pour­prine, agi­tee, tu­mul­tueuse, bo­nasse, calme, re­gor­geante, ireuse, froide, pai­sible, mons­trueuse, cou­rante, em­per­lee, sou­cieuse, tran­quille.

La Mer à eu ce nom (ainsi qu’on dit) à cause de son eau qui est amere.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes,1571,
ff. 163v°-164r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_333_334]
(texte original).

[Cheual de mer. Nau, naue, nauire ou nef.]

[Citoien marin. Poisson.]

[Dieu de la mer. Ocean.]

[Dieu marin. Nep­tune, Ne­ree, Phorce ou Phorque, Pro­tee.]

[Fille de la mer. Venus.]

[Fils de la mer. Amour.]

[Gouuerneur de la mer, roi de la mer, roi des orages marins. Nep­tune.]

[Irrite-mer. Aqui­lon, vague, vent.]

[Maistre de la mer. Boree, vent.]

[Manne de la mer. Haren.]

[Marin /-ine /-s. Absinthe, air, alose, amer­tume, ba­leine, bord de l’eau, bouil­lons, Cha­rybde, choc, conque, cours d’eau, eau, escueil, escume, flots, golfe ou gouffre, haure, huytres, Icare, la­mie, na­ui­gage ou na­ui­ga­tion, Nymphes, onde, pe­ril, rade, ri­uage ou riue, sel, sable, tem­peste, tour­mente, tri­dent, tur­bot, vague, vent.]

[Maritime /-s. Achaïe, haure, isle, pin, plon­geon, port, Rhodes, Sy­renes.]

[Naiade de la mer. Ga­la­tee.]

[Roine de la mer. Venise.]

[Voir aussi amphi­trite, Ne­re­ides ; voir en­core Te­thys et The­tis.]