Ni le
plaisant
palais,
ni le bannissement,
Ni l’honneur
doucereux,
ni la vie
seruile,
Ni l’or
esblouissant,
ni la disette
vile,
Ni viure en delicat, ni viure pourement;
Ni se voir allié en lieu bien
hautement,
Ni se voir abaissé voire en
lointaine
ville,
Ni du monde
la paix,
ni la guerre
ciuile,
Ni
gracieux
acueil,
ni rude
traitement;
Ni
l’amour
des amis,
ni des parens
la haine,
Ni le bras
des meschans, ni leur flaterie
vaine,
Ni le fer
aguisé,
ni le feu
deuorant,
Ni la
cruelle
mort,
ni d’enfer
la puissance,
N’osteront de mon
cœur,
de Dieu
la souuenance,
Ni ne l’empescheront de m’estre secourant.
Ni le
plaisant
palais,
ni le bannissement,
Ni l’honneur
doucereux,
ni la vie
seruile,
Ni l’or
esblouissant,
ni la disette
vile,
Ni viure en delicat, ni viure pourement,
Ni se voir allié en lieu bien
hautement,
Ni se voir abaissé voire en
lointaine
ville,
Ni du monde
la paix,
ni la guerre
ciuile,
Ni
gracieux
acueil,
ni rude
traitement,
Ni
l’amour
des amis,
ni des parens
la haine,
Ni le bras
des meschans, ni leur flaterie
vaine,
Ni le fer
aguisé,
ni le feu
deuorant,
Ni la
cruelle
mort,
ni d’enfer
la puissance,
N’osteront de mon
cœur,
de Dieu
la souuenance,
Ni ne l’empescheront de m’estre secourant.
En ligne le
15/05/10.
Dernière révision le 09/05/21.