Description des éditions anciennes
d’où sont extraits les poèmes en ligne
 

Œuvres de
d’Espinay
sur Gallica :

1560

Les Sonnets

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Les Sonnets, Paris, 1560.

LES SONETS / de / CHARLES D’ESPI- / nay, breton. / Reueus & augmentez par l’Autheur. / […] / a paris, / De l’Imprimerie de Robert Estienne. / m. d. lx. / AVEC PRIVILEGE.

[gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k70650m]
[NUMM-70650] [PDF_1_35 / 1,5 Mo]

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[0] [pages liminaires] [ff. A1r°-A4v° =PDF_1_8]

Les pages liminaires comprennent une page de titre [PDF_1] ; « À sa Dame », épître de l’au­teur en prose [PDF_2_3] ; une série de huit son­nets : « Jà mon ardeur s’était ré­duite en cendre… » et « Ici j’appends la dé­pouille ancienne… » de Ron­sard [PDF_4_5] ; « Mais de quel trait as-tu navré ce cœur… » de Bel­leau [PDF_5] ; « Amour par les regards d’une indomp­table flamme… » de But­tet et « Le bel esprit d’une pu­dique Dame » de Des Autels [PDF_6] ; « Amour voyant l’or­gueil­leuse Bel­lone… » et « Je pen­sai, D’Espi­nay, être seul en la France » de Gré­vin [PDF_7] ; « Si le pou­voir d’une rare beau­té… » de Ples­sis Berard [PDF_8].

[1] Les Sonnets. [ff. B1r°-E1v° =PDF_9_34]

[49 sonnets non numé­rotés et une chanson qui prend place trois sonnets avant la fin]

[16] [1] [f° B4v° =PDF_16] métamorphose :
C’était le jour d’un Avril gracieux…

[17] [1] [f° C1r° =PDF_17] Or che ’l ciel… (Canz., 164) :
Lorsque tous cois sont terre et ciel et vent…

[27] [2] [f° D2r° =PDF_27] recollection :
Or désormais pauvres yeux lamentez…

[33] [2] [f° E1r° =PDF_33] portrait :
Ce ne fut pas le trait de ces beaux yeux…

[34] [1] [f° E1v° =PDF_34] satire à l’infinitif :
Contrefaire au retour de quelque long voyage…



En ligne le 11/11/12.
Dernière révision le 18/05/23.