Voir aussi :
Les Sonnets, Paris, 1560.
[gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k70650m]
[NUMM-70650] [PDF_1_35 / 1,5 Mo]
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[0] [pages liminaires] [ff. A1r°-A4v° =PDF_1_8]
Les pages liminaires comprennent une page de titre [PDF_1] ; « À sa Dame », épître de l’auteur en prose [PDF_2_3] ; une série de huit sonnets : « Jà mon ardeur s’était réduite en cendre… » et « Ici j’appends la dépouille ancienne… » de Ronsard [PDF_4_5] ; « Mais de quel trait as-tu navré ce cœur… » de Belleau [PDF_5] ; « Amour par les regards d’une indomptable flamme… » de Buttet et « Le bel esprit d’une pudique Dame » de Des Autels [PDF_6] ; « Amour voyant l’orgueilleuse Bellone… » et « Je pensai, D’Espinay, être seul en la France » de Grévin [PDF_7] ; « Si le pouvoir d’une rare beauté… » de Plessis Berard [PDF_8].
[1] Les Sonnets. [ff. B1r°-E1v° =PDF_9_34]
[49 sonnets non numérotés et une chanson qui prend place trois sonnets avant la fin]
[16]
[1]
[f° B4v° =PDF_16]
métamorphose :
C’était
le jour d’un Avril gracieux…
[17]
[1]
[f° C1r° =PDF_17]
Or
che ’l ciel… (Canz., 164) :
Lorsque
tous cois sont terre et ciel et vent…
[27]
[2]
[f° D2r° =PDF_27]
recollection :
Or
désormais pauvres yeux lamentez…
[33]
[2]
[f° E1r° =PDF_33]
portrait :
Ce
ne fut pas le trait de ces beaux yeux…
[34]
[1]
[f° E1v° =PDF_34]
satire
à l’infinitif :
Contrefaire
au retour de quelque long voyage…
En ligne le 11/11/12.
Dernière révision le 18/05/23.