disposition du
préambule
(vers
1 à 5)
La
mer
n’a point dedans ses
hautes
ondes
Tant d’animaux,
ni par-dessus la
lune
Voit tant passer d’astres
aucune nuit,
Ni tant d’oiseaux
hébergent par les
bois,
Ni tant de fleurs
eut onques pré
ni plage,
Que mon cœur
a d’ennuis
un chacun soir.
[…]
Je n’eus jamais une
tranquille
nuit :
Mais soupirai depuis matin et
soir,
Qu’amour
me fit un citoyen
des bois.
Quand j’aurai paix,
la mer
sera sans ondes,
Et au soleil
donn’ra clarté
la lune,
Et fleurs
d’Avril
mourront par toute plage.
[…]
La
mer
n’a point dedans
ses
hautes
ondes
Tant
d’animaux,
ni par-dessus la lune
Voit tant passer
d’astres
aucune nuit,
Ni tant
d’oiseaux
hébergent par les
bois,
Ni tant de
fleurs
eut onques pré
ni plage,
Que mon
cœur
a d’ennuis
un chacun soir.
[…]
Je
n’eus jamais une
tranquille
nuit :
Mais soupirai depuis matin
et soir,
Qu’amour
me fit un citoyen
des bois.
Quand j’aurai
paix,
la mer
sera sans ondes,
Et au
soleil
donn’ra
clarté
la lune,
Et
fleurs
d’Avril
mourront par toute plage.
[…]
En ligne le 06/06/21.
Dernière révision le 26/06/25.