Qui voit (Phébus
sur le Taureau
monté)
Le blanc, l’azur,
le vert, dont Flora
dore,
Les prés
herbus,
peut penser voir encore,
Le gai printemps
de sa douce beauté.
Nombrant les rais,
desquels au temps
d’été,
Diversement l’arc-en-ciel
se colore,
L’infinité des grâces,
que j’adore,
Il peut nombrer en un compte arrêté.
Et qui pourra les Atomes comprendre
Du grand espace, auquel l’on voit étendre,
De l’œil
du Ciel la lumineuse flamme :
Celui, possible, aussi pourra
connaître,
Dedans mon cœur
combien grande peut être,
L’affection,
que je porte à ma Dame.
Qui
voit (Phébus
sur le Taureau
monté)
Le blanc, l’azur,
le vert, dont Flora
dore,
Les prés
herbus,
peut penser voir encore,
Le gai printemps
de sa douce beauté.
Nombrant
les rais,
desquels au temps
d’été,
Diversement l’arc-en-ciel
se colore,
L’infinité
des grâces,
que j’adore,
Il peut nombrer en un
compte arrêté.
Et
qui pourra les Atomes
comprendre
Du grand espace, auquel
l’on voit étendre,
De l’œil
du Ciel la
lumineuse flamme :
Celui,
possible, aussi pourra
connaître,
Dedans mon cœur
combien grande peut être,
L’affection,
que je porte à ma Dame.
En ligne le 14/08/05.
Dernière révision le 13/12/15.