««« Ron­sard »»»

« Ronsard », « Ven­dôme », « Perot » ou « le Ven­dô­mois » dans :
Des Autels
1553
~ Si tu veux le compte savoir…
Magny
1554 [1871]
~ Autant, mon Ron­sard, que de roses…
1557
~ Doncques il sera vrai…
Tahu­reau
1554 [1870]
~ Si d’un Horace…
Tyard
1555
~ En la froi­deur…
La Pé­ruse
1555
~ Cassandre vit…
La Tays­son­nière
1555
~ Si de Baïf…
Bu­gnyon
1557
~ Macrin sa Gélo­nis…
Chan­dieu
1563
~ Ta Poésie, Ron­sard…
Du Bellay
1569
~ Un Berger, un Che­vrier…
La Bode­rie
1571
~ S’il est vrai, mon Dorat…
Jodelle
1574
~ Sapphon la docte Grecque…
Chante­louve
1576
~ Seine qui fais…
de Brach
1576
~ Le Loir marque les bords…
Ron­sard
1578
~ Quand vous serez bien vieille…
Boys­sières
1578
~ Ronsard pour sa Cas­sandre…
La Jessée
1583
~ Que n’ai-je les accords…
Jacques de Romieu
1584
~ Jodelle va louant…
Pas­quier
1610
~ Que Laure soit…

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◊ « Vendôme » (Tyard), « Perot » (Du Bellay), « le Vendô­mois » (de Brach, J. de Romieu), « un Vendô­mois » (La Jessée).
 

Ronsard. Pin­dare fran­çais, l’hon­neur des poètes, grand, Ter­pandre, amant ven­dô­mois, fa­meux, har­peur, divin, aime-mu­sique, docte, prince des odes, fils d’Apol­lon, aime-pein­ture, ly­rique.

La très docte et non vul­gaire poé­sie de M. P. de Ron­sard gen­til­homme Vendô­mois, au com­men­ce­ment des igno­rants aboyée, est au­jour­d’hui d’un cha­cun si favo­ra­ble­ment reçue, signam­ment de ceux qui savent dex­tre­ment manier le bâ­ton poé­tique, qu’il n’y a celui qui ne le confesse être le prime entre tous les poètes Français. Et veux aussi que tu saches, Lec­teur, comme ses œuvres ont été la prin­ci­pale cause de la peine que j’ai prise à te faire ce recueil d’épi­thètes, ayant trou­vé un plai­sir incroyable à sa naïve façon de les accom­mo­der.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 233r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_472_473]
(texte modernisé).

[Ronsardin /-ine /-s. Loir, lyre, ode, son­net, vers.]

[Ronsardique. Loir, ode, poé­sie.]

[Second Ron­sard. La Pé­ruse.]

[Truche­ment de Ron­sard. Bel­leau.]

[Voir aussi Alcine, Cas­sandre, éter­ni­té, Mânes, Nil, qui­gnon.]

[Voir aussi Baïf, But­tet, Des Autels, Do­rat, Du Bel­lay, Jo­delle, Ma­gny, Mu­ret, Pe­le­tier, Sainte-Marthe, Sa­lel, Scève, Ta­hu­reau, Tyard ; voir en­core Alcée, Ana­créon, Co­rinne, Hé­siode, Ho­mère, Ly­co­phron, Pin­dare, Sap­pho, Théo­crite et Ché­rile, ain­si que Ca­tulle, Ho­race, Ju­vé­nal, Lu­cain, Lu­crèce, Mar­tial, Ovide, Plaute, Ti­bulle, Vir­gile et Pé­trarque.]


 

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Ronsard. Pin­dare fran­çois, l’hon­neur des poetes, grand, Ter­pandre, amant van­do­mois, fa­meus, har­peur, di­uin, aime-mu­sique, docte, prince des odes, fils d’Apol­lon, aime-pein­ture, ly­rique.

La tresdocte & non vul­gaire poë­sie de M. P. de Ron­sard gen­til­homme Van­do­mois, au com­men­ce­ment des igno­rans abbaiee, est au­iour­d’hui d’vn cha­cun si fauo­ra­ble­ment receuë, signam­ment de ceux qui sçauent dex­tre­ment manier le bas­ton poe­tique, qu’il n’y a celuy qui ne le confesse estre le prime entre tous les poetes Fran­çois. Et veux aussi que tu sçaches, Lec­teur, comme ses oeuures ont esté la prin­ci­pale cause de la peine que i’ai prise à te faire ce recueil d’epi­thetes, aiant trou­ué vn plai­sir incroiable à sa naïue façon de les accom­mo­der.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 233r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_472_473]
(texte original).

[Ronsardin /-ine /-s. Loir, lyre, ode, son­net, vers.]

[Ronsardique. Loir, ode, poe­sie.]

[Second Ronsard. Pe­ruse.]

[Truche­ment de Ron­sard. Bel­leau.]

[Voir aussi æter­ni­té, Alcine, Cas­sandre, Manes, Nil, qui­gnon.]

[Voir aussi Aurat, Baif, Bel­lay, But­tet, Des Autels, Io­delle, Ma­gni, Mu­ret, Pel­le­tier, Pon­tus de Thiard, Saincte Marthe, Sa­lel, Sceue, Ta­hu­reau ; voir en­core Alcee, Ana­creon, Co­rinne, He­siode, Ho­mere, Ly­co­phron, Pin­dare, Sap­phon, Theo­crite et Che­rile, ain­si que Ca­tule, Ho­race, Iu­ue­nal, Lu­cain, Lu­crece, Mar­tial, Ouide, Plaute, Ty­bulle, Vir­gile et Pe­trarque.]