Préam­bule
Dernier poème en ligne :
La Boderie : Quand ma mère en ses flancs…
Le Préam­bule des
innom­brables
 

  1. Alcanon [1]
  2. Angot [7]
  3. d’Aubigné [6]
  4. d’Avost [3]
  5. Babinot [3]
  6. Bachet [1]
  7. Baïf [25]
  8. Belleau [7]
  9. Béreau [2]
  10. Bernier de La Brousse [9]
  11. Berthrand [4]
  12. Birague [9]
  13. Blanchon [16]
  14. Boyssières [11]
  15. Brach (de) [9]
  16. Breton­nayau [2]
  17. Brisset [3]
  18. Bugnyon [7]
  19. Buttet [17]
  20. Certon [23]
  21. Chandieu [7]
  22. Chantelouve [9]
  23. Chassignet [9]
  24. Gabrielle de Coignard [2]
  25. Cornu [11]
  26. Courant [1]
  27. Courtin de Cissé [9]
  28. Des Autels [13]
  29. Desaurs [6]
  30. Desportes [9]
  31. Cath. Des Roches [7]
  32. Du Bartas [3]
  33. Du Bellay [30]
  34. Du Buys [5]
  35. Jos. Du Chesne [4]
  36. Du Monin [12]
  37. Du Pré [6]
  38. Du Tronchet [26]
  39. Du Verdier [1]
  40. L’Ecclésiaste [1]
  41. Ellain [4]
  42. d’Espinay [5]
  43. Expilly [6]
  44. Filleul [2]
  45. Fondimare [1]
  46. Fontaine [2]
  47. Forcadel [3]
  48. Gadou [8]
  49. Gamon [3]
  50. Garnier Claude [22]
  51. Garnier Robert [8]
  52. Gio. Andrea Gesualdo [1]
  53. Gohory [1]
  54. Goulart [12]
  55. Grévin [9]
  56. Grisel [6]
  57. Guy de Tours [9]
  58. Fr. Habert [4]
  59. Isaac Habert [7]
  60. Hesteau [20]
  61. Horace [1]
  62. Jamyn [9]
  63. Jodelle [19]
  64. La Boderie [8]
  65. La Gravière [3]
  66. La Haye [5]
  67. La Jessée [52]
  68. La Péruse [4]
  69. Jacques de La Taille [1]
  70. Jean de La Taille [6]
  71. La Taysson­nière [3]
  72. La Ville [1]
  73. Louise Labé [3]
  74. Lasphrise [27]
  75. Le Caron [7]
  76. Le Gaygnard [5]
  77. Le Loyer [14]
  78. Le Poulchre [5]
  79. Le Saulx [216]
  80. Lope de Vega [2]
  81. Louvencourt [8]
  82. Mage de Fiefme­lin [5]
  83. Magny [27]
  84. Maldeghem [27]
  85. Marbeuf [5]
  86. Marot [5]
  87. Anne de Marquets [3]
  88. V. Martelli [1]
  89. Marulle [1]
  90. Jacqueline de Mire­mont [1]
  91. Montchres­tien [3]
  92. Muret [1]
  93. Nervèze [3]
  94. Nostredame [2]
  95. Ovide [5]
  96. Pasquier [10]
  97. Peletier [14]
  98. Perrin [4]
  99. Pétrarque [24]
  100. Philieul [39]
  101. Pontoux [7]
  102. Pontay­meri [4]
  103. Poupo [5]
  104. Jacques de Romieu [6]
  105. Marie de Romieu [4]
  106. Ronsard [43]
  107. Rouspeau [5]
  108. Saint-Gelais [4]
  109. Sainte-Marthe [2]
  110. Salel [7]
  111. Scalion de Virblu­neau [1]
  112. Scève [3]
  113. Sponde [4]
  114. Tahu­reau [6]
  115. Taille­mont [2]
  116. Tami­sier [2]
  117. Trellon [2]
  118. Turrin [10]
  119. Tyard [11]
  120. Vatel [2]
  121. Vauque­lin [3]
  122. Vermeil [6]
  123. Virgile [1]

[∞] 114 poèmes
[∑] 166 poèmes
[≠] 104 poèmes
[ω] 116 poèmes
[✴] 102 poèmes
[‡] 28 poèmes



Parmi d’innom­brables textes dispo­nibles sur Gallica.bnf.fr, le site de la Biblio­thèque nationale de France, d’innom­brables poèmes du seizième siècle, rassem­blés en recueils ou iso­lés dans des livres de prose, dont on peut désor­mais obte­nir des photo­co­pies sur écran puis sur papier.

Innom­brables sont les poèmes et les auteurs très dignes d’être lus, mais délais­sés par la tradi­tion, parfois jamais repu­bliés, parfois acces­sibles chez les édi­teurs spécia­li­sés, que Gallica permet de lire aujour­d’hui dans l’aspect ori­gi­nel de leur publi­ca­tion.

On voudrait par ce site suivre, et pourquoi pas accé­lé­rer le « mouve­ment, assez géné­ral quoique lent, de réé­va­lua­tion critique de la poésie du passé » dont parle Jacques Roubaud * dans l’intro­duc­tion de son SOLEIL DU SOLEIL, antho­lo­gie du sonnet français de Marot à Malherbe, parue chez P.O.L. en 1990, et qui a ébloui, quand on croyait connaître la poésie du seizième siècle. Passé l’éblou­is­se­ment, on essaiera donc ici de suivre virtuel­le­ment les pas de Jacques Roubaud.

Innombrables, ces poèmes le sont aussi parce que dans l’abon­dance, textes et même recueils sont diffi­ci­le­ment repé­rables, faute d’un réper­toire dont LE PRÉAMBULE DES INNOM­BRABLES voudrait commen­cer à jouer le rôle (1) (2).

On voudrait propo­ser à tous les publics une antho­lo­gie de ces textes et de leurs auteurs, ainsi qu’une sito­gra­phie permet­tant de prolon­ger leur lecture.

L’antho­logie sera fondée sur deux principes, dont le projet du site est aussi de mesu­rer la perti­nence : le principe des lieux communs, et celui qu’on dési­gne­ra comme le principe des dispo­si­tions, parmi lesquelles figure ce préambule des innom­brables qui a fourni un nom pour l’ensemble du site.

Taolta (3), le 27 novembre 2004.
Révisé le 16 octobre 2005.

(1) Ce site n’a rien d’officiel, aucune instance pour en surveiller la rigueur, aussi accueil­le­rait-on volon­tiers les conseils et les pro­po­si­tions de recti­fi­ca­tion (Courrier → courrier [] preambule . net)

(2) Le moteur de recherche de Gallica pour les docu­ments numé­ri­sés, comme le Cata­logue géné­ral de la BnF, ou celui du C.C.Fr., Catalogue Collectif des biblio­thèques de France, ne peuvent guère satis­faire que les lecteurs connaissant à l’avance l’existence des textes qu’ils cherchent, même si c’est presque par leur seul moyen qu’on a pu découvrir grand nombre des poèmes publiés ici.

(3) On tient à conserver l’ano­nymat, derrière ce pseudo­nyme un peu ridicule, à dire on aux prix de quelques contorsions gramma­ti­cales, pour insister sur la valeur du bien commun. Les œuvres que Gallica donne à lire sont le bien commun. On aimerait surtout contribuer à faire vivre ou revivre dans la mémoire commune certains noms comme ceux d’Adrian de Gadou, Marin Le Saulx, Joachim Blanchon, Jehan Grisel.


* L’Uni­ver­sité de Poitiers s’apprête à publier le premier numéro des « Cahiers Jacques Roubaud » (automne 2016).








































































 

Preambule.
« Adont le sage roy commença son parler par une preambule
si belle et si notable que grant beauté estoit à oyr. »
(Christ. de Pisan, Charles V, III, f. 43)