««« ris »»»

« ris » ou « rire » dans :
Marot
1539
~ Des plus beaux yeux… (Canz., 348)
Tyard
1549
~ Sous ton haut front…
1555
~ À l’œil bril­lant…
Du Bellay
1550
~ Ces cheveux d’or, ce front…
Ron­sard
1552
~ Un chaste feu…
~ Quand au pre­mier…
~ Doux fut le trait…
~ Avec les lis…
~ Ô doux par­ler…
~ Être indi­gent…
~ Ce ris plus doux…
~ Son chef est d’or…
1553
~ Je veux mou­rir…
~ Ni de son chef…
Des Autels
1553
~ De Jupi­ter…
Magny
1553
~ Elle est à vous…
1557
~ Je l’aime bien…
~ Ces beaux cheveux dorés…
~ Vos célestes beau­tés…
1559
~ [L’amour me fait haïr moi-même…
Tahu­reau
1554 [1870]
~ Quand j’aper­çois…
Fon­taine
1555
~ Mon petit fils… [strophe 5]
Pele­tier
1555
~ Si tu n’es Vent…
Baïf
1555
~ Et des plus belles mains…
~ Ma Francine est par­tout…
~ Ô beaux yeux azu­rins…
1573
~ J’aime ce teint…
Louise Labé
1555
~ Ô beaux yeux bruns…
d’Espi­nay
1560
~ Ce ne fut pas…
Gré­vin
1560
~ Plus je suis tour­men­té…
1561
~ Je me ris de ce monde…
Ellain
1561
~ L’amitié libre…
Turrin
1572
~ Cet œil, cet or…
Gadou
1573
~ Si vous vou­lez…
Perrin
1574
~ Viens accor­der encor…
Le Loyer
1576
~ Quand j’aper­çois…
La Jessée
1578
~ Que de grâce, d’attraits…
1583
~ Ô guerre, ô paix…
~ Ô ris com­blé…
~ Beauté céleste…
~ Ce que l’orage fier…
~ Quel aise en mon ennui…
Boys­sières
1578
~ Amour, Mars, Apol­lon…
1579
~ L’Alle­mand, l’Espa­gnol…
Hes­teau
1578
~ Avoir d’un bref repos…
Cour­tin
1581
~ Ô doux pro­pos…
~ Ô doux dédain…
Du Monin
1585
~ Pourquoi nenni ?…
Bi­rague
1585
~ Un poil blond enla­cé…
~ Ton poil doré…
d’Avost
1587
~ L’Or de ces beaux che­veux…
Chassi­gnet
1594
~ L’enfance n’est sinon…
Louven­court
1595
~ Je n’ai pas sitôt pris…
Expil­ly
1596
~ La vive neige…
Guy de Tours
1598
~ Ô doux regards…
~ Ô cheveux, doux liens…
Ver­meil
1600
~ Tout ainsi puissiez-vous…
Angot
1603
~ Qui pourrait voir au ciel…
Anne de Mar­quets
1605
~ La terre ne pro­duit…
Cer­ton
1620
~ J’étais las­sé…

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Ris. Amou­reus, mi­gnard, attraiant, doux ou dou­cet, fo­lastre, plai­sant, suc­cré, blan­dis­sant, sar­do­nien, gra­tieus, des­me­su­ré, char­meur, friand, adou­ci, ioïeus, beau, nec­ta­rien, fa­ce­tieus, mor­dant, en­chan­teur, dan­din, lar­meus.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 231r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_468_469]
(texte original).

[Aime-ris. Venus.]

[Riant /-ante /-ans. Accueil, aspect, attrait, bouche, bro­card, cam­paigne, Cha­rites, coupe, face, herbe, iar­din, ieu, ieux [yeux], ioie, leures, lis, mine d’aucun, mo­queur, prin­temps, Ve­nus, ver­dure, vin, vi­sage, vit, vo­lup­té.]

[Ridicule. Bro­card, danse, fainte, fain­tise ou fic­tion, fol, idiot, mo­queur, mouë, pau­ure­té, sor­nette, sou­ris [sou­rire], sou­ris [ron­geur], va­ni­té, vieille, vi­sage.]

[Rieus. Badin.]

[Rigoleur, I. gau­dis­seur. Ieu.]

[[Mon] ris. Noz amou­reus tran­sis […] en leurs escrits, prin­ci­pa­le­ment vers celles dont ils esperent obte­nir quel­que faueur, […] appelent [ain­si leur] amou­reuse ou amante.]

[Risible. Homme.]

[Voir aussi risee.]